Lecture d'articles
3 participants
Page 1 sur 1
Lecture d'articles
Bonsoir à tous, je vous envoie mes lectures de l'après midi concernant la prise de risque et l'idée de transgression (sports et alimentation mais pouvant avoir une adéquation avec notre réflexion sur le redbull) Les articles sont joints si vous avez envie d'y jeter un coup d'oeil sinon on en parle mercredi.
Marie Le Fourn, Alicaments, bonboncaments et autres potions magiques qui correspond moitié au thème de
Justine moitié à celui de marc et votre humble serviteur.
http://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2004-1-page-88.htm
Bastien Soulé et Jean Corneloup. Jeunes et prises de risque sportives. Vers une approche sociologique contextualisée
http://corpsetculture.revues.org/471
Résumé du livre de Baudry sur le corps extrême, super bien !
http://socio.ens-lyon.fr/agregation/corps/corps_fiche_baudry.php
J'ai fait des recherches concernant l'intérêt de boire du redbull avant le sport à haut niveau (ou pas), je vous ferai le topo mais la réponse est : c'est pas bon du tout.
Je vous fait le topo mercredi.
Tchou!
Marie Le Fourn, Alicaments, bonboncaments et autres potions magiques qui correspond moitié au thème de
Justine moitié à celui de marc et votre humble serviteur.
http://www.cairn.info/revue-enfances-et-psy-2004-1-page-88.htm
Bastien Soulé et Jean Corneloup. Jeunes et prises de risque sportives. Vers une approche sociologique contextualisée
http://corpsetculture.revues.org/471
Résumé du livre de Baudry sur le corps extrême, super bien !
http://socio.ens-lyon.fr/agregation/corps/corps_fiche_baudry.php
J'ai fait des recherches concernant l'intérêt de boire du redbull avant le sport à haut niveau (ou pas), je vous ferai le topo mais la réponse est : c'est pas bon du tout.
Je vous fait le topo mercredi.
Tchou!
Re: Lecture d'articles
J'ai lu quelques articles, dont ceux que j'avais postés. Ils sont d'importance inégale même si je garde certaines choses dans un coin de ma tête.
Par contre, celui qui est important, c'est le suivant:
Joffe, Helene: "Risk, from perception to social representation". Je ne mets pas de lien puisqu'il n'est accessible que depuis domino.
On peut le résumer ainsi:
lecture de : « Risk, from perception to social representation » de Joffe H. => très intéressant. Il tente de définir un champ d’étude sociologique pour le risque. Selon lui, et d’autres auteurs, l’approche cognitive du risque reste centrée sur l’individuel et le subjectif, partant du principe que le cerveau humain traite l’information reçue passivement à la manière d’une machine mais qu’il le fait « mal » ou de manière biaisée. Ce modèle mécaniste et la dimension uniquement « intrapersonnelle » sont des obstacles à dépasser. D’où le titre, « de la perception à la représentation sociale ». On doit introduire un intermédiaire entre le contenu scientifique qui exprime et analyse le risque et la représentation qu’en ont les individus => cet intermédiaire se trouve surtout dans les médias, et dans les réseaux. On ne peut pas parler de réception passive et de lien direct « contenu médiatique => représentations sociales ».
Notion utilisées en socio du risque = anchorage (ancrage) et objectification.= deux processus qui relient le risque nouveau à des risques déjà existants et établissent des analogies fortes mais implicites
=> permettrait de voir comment le « risque » lié au redbull est perçu, comment est relié, fondu dans d’autres risques préexistants et déjà connus, des schémas déjà établis.
Quel lien entre red bull et « climat du risque » et de l’angoisse dont parlent certains spécialistes ? Quelle confiance envers experts ? cf article
Par contre, celui qui est important, c'est le suivant:
Joffe, Helene: "Risk, from perception to social representation". Je ne mets pas de lien puisqu'il n'est accessible que depuis domino.
On peut le résumer ainsi:
lecture de : « Risk, from perception to social representation » de Joffe H. => très intéressant. Il tente de définir un champ d’étude sociologique pour le risque. Selon lui, et d’autres auteurs, l’approche cognitive du risque reste centrée sur l’individuel et le subjectif, partant du principe que le cerveau humain traite l’information reçue passivement à la manière d’une machine mais qu’il le fait « mal » ou de manière biaisée. Ce modèle mécaniste et la dimension uniquement « intrapersonnelle » sont des obstacles à dépasser. D’où le titre, « de la perception à la représentation sociale ». On doit introduire un intermédiaire entre le contenu scientifique qui exprime et analyse le risque et la représentation qu’en ont les individus => cet intermédiaire se trouve surtout dans les médias, et dans les réseaux. On ne peut pas parler de réception passive et de lien direct « contenu médiatique => représentations sociales ».
Notion utilisées en socio du risque = anchorage (ancrage) et objectification.= deux processus qui relient le risque nouveau à des risques déjà existants et établissent des analogies fortes mais implicites
=> permettrait de voir comment le « risque » lié au redbull est perçu, comment est relié, fondu dans d’autres risques préexistants et déjà connus, des schémas déjà établis.
Quel lien entre red bull et « climat du risque » et de l’angoisse dont parlent certains spécialistes ? Quelle confiance envers experts ? cf article
Marco- Messages : 55
Date d'inscription : 07/10/2011
article alicaments et potions magiques
A retenir :
=>Acte de manger et de boire est chargé de vertus et de bienfaits pour le corps et pour l'âme (assimilation des vertus de la chose mangée par l'être vivant, aliment devient un véritable médicament). Magie réparatrice. Rapports éternels entre magie et réalité. Pensée magique est une part constitutive du fonctionnement mental.
=>Paradoxe avec la modernité, contrôle, hyperchoix, tentation, prescriptions et affirmations contraires, surinformation, démentis et profusion=ravivent ce que nous avons envie de croire et ce n'est pas toujours rationnel.
=>Alicament=aliment et médicament (eaux, jus de fruits, produits laitiers, chocolat...), produit alimentaire solide ou liquide favorable à la santé par la prévention de certains maux, efficace sur certaines maladies.
=>Les marques renforcent leurs propositions "alicamentaires" avec des arguments pour protéger l'organisme (vitamines, minéraux, acides gras) tout en voulant respecter l'environnement et le goût. Peut-être souhaite-t-on se protéger des maux de la société. Beaucoup de métaphores qui jonglent entre alimentation et richesse, le consommateur est vite séduit par produits ("enrichis en vitamines" ; "garantie en valeur ajoutée santé" ; "pour combler les déficits en oligo-éléments"...répétition des arguments débouche sur l'ivresse, il y en a trop)
=>Pseudo-médicaments=bonboncaments (marketing qui les a installé entre le besoin de sécurité et le ludique, et entre le ludique et la prise de risque imaginaire). Bonbon=marque, trace, empreinte d'amour, une façon d'être aimé et de prendre soin pour sécher les larmes d'un enfant venant de tombé comme le "bisou magique". Bonbons qui consolent, qui soignent, qui changent les idées.
=>A partir de association bonbon-plaisir/douleur-plainte-jouissance, fabricants jouent dessus et sur la croyance de l'enfant. Force magique de l'auto-réparation, auto-alimentation du bonbon.
=>Packaging ressemblant à celui des emballages pharmaceutiques, achetés par les enfants, puissance du placebo sous forme de biberons ou de sucettes=statut d'objets transitionnels entre la maternité et l'enfance (autonomie de l'enfant).
=>D'autres sont consommés sous forme de spray, imitant les médicaments pour les maux de gorge ou difficultés respiratoires (vento pour asthmatique). Bonbon sans sucre, sans consistance créé un imaginaire paradoxal entre prévention contre surpoids/obésité et développement du sucré et de l'oralité (fait de mettre à la bouche). Arômes piquants, toniques, acides, amers font croire à l'enfant qu'il ne s'agit pas d'un bonbon mais plutôt d'un médicament.
=>Inversement, pour séduire, les laboratoires pharmaceutiques développent le concept de pastilles présentées comme des bonbons, des gommes. Différence entre bonbon-médicament (sucreries qui font croire que ce sont des médicaments pour les enfants) et médicament-bonbon (pastilles médicinales) est très difficile.
=>Nécessité de rendre les aliments "pensables" pour être "mangeables". Ce qui est solide=inavalable. Donc pour le manger, il faut le penser différemment ou le transformer à nouveau en liquide, donc impose une double transformation (liquide-solide-liquide-mangeable).
=>solides sont pensés pour être mastiqués puis mangés contrairement aux liquides, pensés pour être bus. Mais comment peut-on dire que ce qui est liquide est mangeable, comment penser le liquide pour être mangé ? (question que se pose Marie Le Fourn). Besoin d'une transformation pour rendre ces aliments accessibles du côté du mangeable. Traitement pour que le liquide soit pensé mangeable et pas seulement buvable (exemple:les glaces)=>empiètent sur les imaginaires:bouleversement des références du risque, la mort, immortalité et éternelle jeunesse. Impossible se met en marche, ambivalence rend fou ou tout-puissant, auto-engendrement. "Si l'on devient ce que l'on mange, alors c'est la toute-puissance de la technologie que l'on incorpore aussi" (Marie Le Fourn).
=>Alimentation liquide récupère vertus d'immortalité, quasi-mythologie moderne, sociétés modernes mettent à distance la mort et la vieillesse (ne sont pas que des tabous mais aussi deviennent des "fautes", cela ne doit pas ou plus arriver). Glorification valeurs réussite, performance, rapidité, plaisir (monde jeunesse) // échecs, essais, travail, réalité (monde adulte). "Jeunisme" dont l'alimentation liquide est une métonymie (vêtements, régimes, tatouages, autres marques sur le corps). Quête légitime au niveau individuel.
=>Ancrage du sujet moderne dans le présent donc rend plus difficile la transition vers le monde de l'adulte. Société=prisonnière du paraître et de la rapidité, seule vérité sont les représentations d'images et de mots. Publicité alicamentaire nous protège des maux sociaux comme vieilesse, maladies, pauvreté, kilos en trop. Sociétés modernes sont dans le monde de la magie la plus archaïque de la vie d'un humain, celle de l'enfance où l'apparence égale la réalité. On est dans "le pour de vrai".
=>Sociétés modernes où rappel permanent des mises en garde sur la sécurité alimentaire. Notice formulée comme si le consommateur était en danger (dose prescrite). Fait ressentir au consommateur, l'importance de ce qu'il absorbe, pseudo-prise de risque imaginaire, pseudo-conduites de risques, mort est toute proche. Cible=adolescent, âge pour désobéir, se surpasser, dépasser les limites, transgression. Notices les poussent à aller au-delà.
=> Jouer avec idée du risque mais sans en prendre (comme un vrai médicament avec une dose minimale-maximale+danger si au-dessus). Consommateur a une garantie de leurs contenus donc pourquoi se surveiller, si c'est surveillé ?
=>Ce qui est dangereux fait vendre, même chose pour transgression ou passage à l'acte. Ça donne des frissons, ça provoque les grands. "Ce qui est bon à penser est bon à manger" (C. Lévi-Strauss) ; aujourd'hui:"ce qui est bon à provoquer est bon à manger" (Marie Le Fourn)
=>Ados se trouvent dans une sorte de rite de passage. Julian Pitt Rivers:"On connaît bien la fonction psychologique de la peur ou de la douleur dans les rites : elles aident l'initié à s'adapter à son nouveau statut en lui faisant sentir l'importance de la transition qu'il effectue". Quête identitaire, affirmation de soi, risque est valorisé, apprivoiser le danger et le maîtriser:apanage des gens courageux, dynamiques, donc dignes d'intérêts (valorisation sociale).
=> Risque symbolisé souvent par un "X"=inconnu, extrême, ecstasy. Fonction "deux en un" car "vertu" de l'alicament s'inscrit dans la réalité et dans l'imaginaire, se vend bien, car si on en consomme, on a l'illusion de ne pas perdre de temps, de consommer utile, se protéger, se soigner et se nourrir en même temps. Pour l'enfant "trois en un"=protection, plaisir, fait "comme si" il prenait des risques. Fonction:partie intégrante de la société.
=>Indications, précautions d'emploi comme les médicaments. Explosion de ces produits coïncide avec la diminution du remboursement par la Sécurité sociale pour les médicaments dit "de confort" ou "inefficaces" selon Marie Le Fourn.
=>Acte de manger et de boire est chargé de vertus et de bienfaits pour le corps et pour l'âme (assimilation des vertus de la chose mangée par l'être vivant, aliment devient un véritable médicament). Magie réparatrice. Rapports éternels entre magie et réalité. Pensée magique est une part constitutive du fonctionnement mental.
=>Paradoxe avec la modernité, contrôle, hyperchoix, tentation, prescriptions et affirmations contraires, surinformation, démentis et profusion=ravivent ce que nous avons envie de croire et ce n'est pas toujours rationnel.
=>Alicament=aliment et médicament (eaux, jus de fruits, produits laitiers, chocolat...), produit alimentaire solide ou liquide favorable à la santé par la prévention de certains maux, efficace sur certaines maladies.
=>Les marques renforcent leurs propositions "alicamentaires" avec des arguments pour protéger l'organisme (vitamines, minéraux, acides gras) tout en voulant respecter l'environnement et le goût. Peut-être souhaite-t-on se protéger des maux de la société. Beaucoup de métaphores qui jonglent entre alimentation et richesse, le consommateur est vite séduit par produits ("enrichis en vitamines" ; "garantie en valeur ajoutée santé" ; "pour combler les déficits en oligo-éléments"...répétition des arguments débouche sur l'ivresse, il y en a trop)
=>Pseudo-médicaments=bonboncaments (marketing qui les a installé entre le besoin de sécurité et le ludique, et entre le ludique et la prise de risque imaginaire). Bonbon=marque, trace, empreinte d'amour, une façon d'être aimé et de prendre soin pour sécher les larmes d'un enfant venant de tombé comme le "bisou magique". Bonbons qui consolent, qui soignent, qui changent les idées.
=>A partir de association bonbon-plaisir/douleur-plainte-jouissance, fabricants jouent dessus et sur la croyance de l'enfant. Force magique de l'auto-réparation, auto-alimentation du bonbon.
=>Packaging ressemblant à celui des emballages pharmaceutiques, achetés par les enfants, puissance du placebo sous forme de biberons ou de sucettes=statut d'objets transitionnels entre la maternité et l'enfance (autonomie de l'enfant).
=>D'autres sont consommés sous forme de spray, imitant les médicaments pour les maux de gorge ou difficultés respiratoires (vento pour asthmatique). Bonbon sans sucre, sans consistance créé un imaginaire paradoxal entre prévention contre surpoids/obésité et développement du sucré et de l'oralité (fait de mettre à la bouche). Arômes piquants, toniques, acides, amers font croire à l'enfant qu'il ne s'agit pas d'un bonbon mais plutôt d'un médicament.
=>Inversement, pour séduire, les laboratoires pharmaceutiques développent le concept de pastilles présentées comme des bonbons, des gommes. Différence entre bonbon-médicament (sucreries qui font croire que ce sont des médicaments pour les enfants) et médicament-bonbon (pastilles médicinales) est très difficile.
=>Nécessité de rendre les aliments "pensables" pour être "mangeables". Ce qui est solide=inavalable. Donc pour le manger, il faut le penser différemment ou le transformer à nouveau en liquide, donc impose une double transformation (liquide-solide-liquide-mangeable).
=>solides sont pensés pour être mastiqués puis mangés contrairement aux liquides, pensés pour être bus. Mais comment peut-on dire que ce qui est liquide est mangeable, comment penser le liquide pour être mangé ? (question que se pose Marie Le Fourn). Besoin d'une transformation pour rendre ces aliments accessibles du côté du mangeable. Traitement pour que le liquide soit pensé mangeable et pas seulement buvable (exemple:les glaces)=>empiètent sur les imaginaires:bouleversement des références du risque, la mort, immortalité et éternelle jeunesse. Impossible se met en marche, ambivalence rend fou ou tout-puissant, auto-engendrement. "Si l'on devient ce que l'on mange, alors c'est la toute-puissance de la technologie que l'on incorpore aussi" (Marie Le Fourn).
=>Alimentation liquide récupère vertus d'immortalité, quasi-mythologie moderne, sociétés modernes mettent à distance la mort et la vieillesse (ne sont pas que des tabous mais aussi deviennent des "fautes", cela ne doit pas ou plus arriver). Glorification valeurs réussite, performance, rapidité, plaisir (monde jeunesse) // échecs, essais, travail, réalité (monde adulte). "Jeunisme" dont l'alimentation liquide est une métonymie (vêtements, régimes, tatouages, autres marques sur le corps). Quête légitime au niveau individuel.
=>Ancrage du sujet moderne dans le présent donc rend plus difficile la transition vers le monde de l'adulte. Société=prisonnière du paraître et de la rapidité, seule vérité sont les représentations d'images et de mots. Publicité alicamentaire nous protège des maux sociaux comme vieilesse, maladies, pauvreté, kilos en trop. Sociétés modernes sont dans le monde de la magie la plus archaïque de la vie d'un humain, celle de l'enfance où l'apparence égale la réalité. On est dans "le pour de vrai".
=>Sociétés modernes où rappel permanent des mises en garde sur la sécurité alimentaire. Notice formulée comme si le consommateur était en danger (dose prescrite). Fait ressentir au consommateur, l'importance de ce qu'il absorbe, pseudo-prise de risque imaginaire, pseudo-conduites de risques, mort est toute proche. Cible=adolescent, âge pour désobéir, se surpasser, dépasser les limites, transgression. Notices les poussent à aller au-delà.
=> Jouer avec idée du risque mais sans en prendre (comme un vrai médicament avec une dose minimale-maximale+danger si au-dessus). Consommateur a une garantie de leurs contenus donc pourquoi se surveiller, si c'est surveillé ?
=>Ce qui est dangereux fait vendre, même chose pour transgression ou passage à l'acte. Ça donne des frissons, ça provoque les grands. "Ce qui est bon à penser est bon à manger" (C. Lévi-Strauss) ; aujourd'hui:"ce qui est bon à provoquer est bon à manger" (Marie Le Fourn)
=>Ados se trouvent dans une sorte de rite de passage. Julian Pitt Rivers:"On connaît bien la fonction psychologique de la peur ou de la douleur dans les rites : elles aident l'initié à s'adapter à son nouveau statut en lui faisant sentir l'importance de la transition qu'il effectue". Quête identitaire, affirmation de soi, risque est valorisé, apprivoiser le danger et le maîtriser:apanage des gens courageux, dynamiques, donc dignes d'intérêts (valorisation sociale).
=> Risque symbolisé souvent par un "X"=inconnu, extrême, ecstasy. Fonction "deux en un" car "vertu" de l'alicament s'inscrit dans la réalité et dans l'imaginaire, se vend bien, car si on en consomme, on a l'illusion de ne pas perdre de temps, de consommer utile, se protéger, se soigner et se nourrir en même temps. Pour l'enfant "trois en un"=protection, plaisir, fait "comme si" il prenait des risques. Fonction:partie intégrante de la société.
=>Indications, précautions d'emploi comme les médicaments. Explosion de ces produits coïncide avec la diminution du remboursement par la Sécurité sociale pour les médicaments dit "de confort" ou "inefficaces" selon Marie Le Fourn.
Justine- Messages : 48
Date d'inscription : 08/10/2011
Castres, la société contre l'Etat
Le chapitre 10 de cet ouvrage peut être intéressant pour le sous-thème des rites initiatiques. Je vous ferai ma petite fiche dessus plus tard car là on a autre chose à faire !
Justine- Messages : 48
Date d'inscription : 08/10/2011
Re: Lecture d'articles
C'est Pierre CLASTRES, autant pour moi
Justine- Messages : 48
Date d'inscription : 08/10/2011
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|